Hervé Moreau est exploitant à Notre Dame de Sanilhac en Dordogne. Satisfait de la génétique tournesol Pioneer depuis plusieurs années, il a implanté sur les conseils de son référent Pioneer et d’un de ses distributeurs P64HH150 LumiGEN Premium. Une semence traitée qui intègre le fongicide de dernière génération Lumisena, efficace contre les différentes souches de mildiou, même les derniers variants contournant RM9. Bien lui en a pris !
« Dans mon semoir, j’ai intercalé par erreur des variétés de tournesol avec un traitement standard avec ma variété LumiGEN Premium. Le résultat a été très net : la variété « standard » a été très impactée par le mildiou alors que le P64HH150 LumiGEN Premium, protégée par le Lumisena, est restée très saine. Mon objectif l’année prochaine est d’allonger mes rotations, ce qui reste le premier levier pour limiter le contournement du mildiou et d’acheter toutes mes variétés de tournesol en version LumiGEN Premium. »

10 novembre 2022
Été 2022, la performance est là !
Les régions Poitou-Charentes et Occitanie ont particulièrement souffert des conditions climatiques cette année. Il y a néanmoins de belles réussites avec la génétique Pioneer, surtout lorsque les semis ont été réalisés très tôt.
La carte de Poitou-Charentes présente des résultats d’hybrides oléiques (HH/HE) et linoléiques (LE). La carte d’Occitanie présente des résultats de la nouveauté oléique demi-précoce P64HH167.
N’hésitez pas à nous contacter directement pour en savoir plus sur nos hybrides tournesols et sur notre traitement de semences LumiGEN Premium qui protège très efficacement les tournesols contre toutes les variétés de mildiou, même les nouveaux variants contournant la résistance rm9.


9 novembre 2022
Maïs m3 : la preuve par 3 au lycée agricole de Sées (61)
Après les fermes expérimentales de Grignon, de l’ENSAIA et de Trévarez, les lycées agricoles de Radinghem et de Canappeville, c’est au tour du Lycée Agricole de Sées (61) de tester les maïs m3.
Les 80 vaches normandes ont consommé 3 maïs différents : d’abord du maïs corné-denté (période 1) puis du maïs m3 (période 2) et pour finir du maïs corné-denté (période 3). Grâce à la dégradabilité supérieure de l’amidon des dentés farineux, les vaches ont mieux valorisé le maïs m3 et ce, lors des 2 changements de silos.
Lors du passage au maïs m3, les mesures ont indiqué une augmentation de + 1 L de lait/vache laitière/jour, et lors du retour au maïs corné-denté une baisse de – 2 L de lait/vache laitière/jour a été mesurée.

En parallèle de ces performances laitières, les bouses ont été tamisées durant la période de consommation du maïs corné-denté pour observer leur teneur en amidon. Lorsque les vaches mangent du maïs corné-denté, les bouses contiennent une plus grande quantité d’amidon (cf photo ci-dessous), signe de la moins bonne valorisation du maïs par les animaux. Avec les maïs dentés farineux m3, c’est 4 fois moins d’amidon dans les bouses pour plus de lait avec + 1 à + 2L/vache laitière/jour selon la période !


12 octobre 2022
Un grand merci à tous les participants
Ce fût une première très réussie, grâce à tous les visiteurs qui sont venus parler maïs et m3 bien sûr mais aussi désherbage prairie et biostimulants, et grâce à l’équipe Pioneer qui s’est investie à 200 % dans l’organisation de ce stand. Les 500 éleveurs qui ont participé à notre repas du soir s’en souviendront.
Un très grand bravo à toutes et tous et très certainement, à l’année prochaine !






12 août 2022
Quand faire le dernier tour d’irrigation
Pour vos parcelles de maïs, notamment celles conduites en Sem’Expert Marge, il est recommandé d’arrêter l’irrigation entre les stades humidité du grain à 50 % et humidité du grain à 45 %. En dessous de 45 % d’humidité du grain, le maïs ne valorise plus les apports d’eau d’irrigation.
Ce stade se repère lorsque les amidons vitreux, pâteux et laiteux sont répartis en 3 tiers et peut également être calculé grâce aux UC pour chaque précocité.

2 août 2022
Pour ensiler sans vous tromper
Suite aux fortes chaleurs et en l’absence de précipitations, les maïs ensilage souffrent et une partie risque de ne pas mettre en place correctement leur épi. Voici 3 documents pour vous aider à prendre les bonnes décisions pour votre récolte.
Produire un ensilage de qualité malgré le stress hydrique
Estimer la date de récolte selon le nombre et la position de feuilles vertes et l’aspect de l’épi, régler la longueur de coupe du fourrage ou encore choisir l’inoculant selon l’état de sécheresse du fourrage récolté : tout ce que vous devez savoir pour ensiler sans vous tromper est là !
Comment prévoir ses dates de récolte ensilage
Ne vous faites pas piéger sur vos dates de récoltes
Nous sommes après les floraisons et les conditions météo récentes ont à nouveau raccourci le délai avant récolte. Le document vous explique comment observer le grain, les feuilles, les spathes et la ligne de lait pour déterminer votre date de récolte.
Comment prévoir ses dates de récolte ensilage
Le bon inoculant pour votre ensilage de maïs
Déterminez l’inoculant qu’il vous faut en fonction de votre objectif et/ou de la qualité de votre maïs. Par exemple, l’inoculant Pioneer 11C33RR Rapid React® est parfaitement adapté aux récoltes précoces de maïs ayant soufferts du stress hydrique, et qui ont encore quelques feuilles vertes.
13 juillet 2022
Estimez dès maintenant vos dates de récolte ensilage
Les températures élevées et l’ensoleillement du printemps ont accélérée le cycle du maïs et les floraisons devraient avoir de 8 à 10 jours d’avance par rapport à la normale ; dans certaines zones, le cycle peut même être en avance de plus de 2 semaines.
Les chantiers d’ensilage devraient débuter avant le 15 août en Isère, Saône-et-Loire et dans l’Ain, et dans la semaine du 15 août en Indre, Indre-et-Loire, Loiret, Haute-Marne, Meuse et Haute-Saône, d’après les prévisions d’Arvalis/Météo France.
Il est donc nécessaire d’aller dans vos parcelles pour estimer les dates de récolte de vos maïs et préparer au mieux vos chantiers d’ensilage ; sachant que les estimations se font à partir des dates de floraison.

23 juin 2022
Avis aux céréaliers : 2023 sera une année à maïs
Et nous pouvons vous aider à en profiter grâce à notre offre Sem’Expert Dry !
2023 année à maïs ? Vraiment ?
Oui ! Car les stocks mondiaux sont historiquement bas, les emblavements 2022 européens et américains ne sont pas élevés, la situation en Ukraine reste toujours aussi préoccupante et incertaine, beaucoup d’agriculteurs vont faire du tournesol en culture de printemps en 2023 et la demande en maïs n’est pas prête de faiblir !
Sem’Expert Dry, c’est quoi ?
Sem’Expert Dry, c’est l’offre Pioneer pour valoriser les terres à moyen/faible potentiel, non irriguées, sur lesquelles vous avez des rotations céréalières courtes, et, en conséquence, du salissement.
Sem’Expert Dry, ce sont à la fois des hybrides maïs spécifiquement sélectionnés et un accompagnement par nos experts maïs du pilotage de votre culture.
Sem’Expert Dry, c’est l’idée de générer une marge/ha au moins équivalente à votre céréale tout en faisant bénéficier votre parcelle des avantages agronomiques de l’allongement des rotations, par exemple, pour la nettoyer efficacement. Le tout en libérant votre terre très tôt (mi-septembre), ce qui vous laisse le temps de la préparer dans de très bonnes conditions pour la culture suivante.
Pour tout comprendre sur le Sem’Expert Dry, regardez ci-dessous l’échange entre Thierry, Agriculteur d’Aujourd’hui, et Alison.
Pourquoi vous devez faire du Sem’Expert Dry en 2023 ?
Le Sem’Expert Dry est un maïs piloté spécifiquement pour être récolté aux normes fin août/mi-septembre. En d’autres termes un maïs idéal pour profiter des prix du marché de soudure, prix qui sont historiquement très élevés.
Voyez les simulations par vous-même.


22 juin 2022
Sem’Expert Dry : tout pour réussir
66% des sondés évoquent l’importance d’une bonne fertilisation :
Des apports trop élevés augmentent les charges et donc entrainent une mauvaise marge économique, des apports trop tardifs sont décalés par rapport aux besoins du maïs et des apports d’engrais insuffisants font baisser le rendement.
Pour rappel, c’est en déterminant l’objectif de rendement de la parcelle que vous déterminez les doses d’engrais à apporter, pour ne pas surfertiliser ou sous-fertiliser. Dans l’idéal, le maïs valorise très bien un engrais starter. Il favorise le démarrage et l’enracinement du maïs ce qui lui évitera de « patiner » au démarrage et donc de prendre du retard dans sa floraison, ce qui est important pour le maïs Sem’Expert DRY qui vise une stratégie d’esquive des fortes chaleurs de l’été.
55% évoquent l’importance du travail du sol, essentiel à la qualité d’implantation :
Mauvaise structure du sol, parcelles sales, semis avec des équipements non adaptés et/ou mal préparés/réglés, sont les principaux freins à la réussite de la culture qui ressortent du sondage. Voici les conseils des 22 référents auprès de qui nous avons mené l’enquête :
– Toujours travailler en conditions ressuyées.
– Limiter les compactions pour favoriser au maximum l’exploration racinaire (décisif pour le maïs Sem’Expert Dry soumis à des stress hydriques significatifs). – Supprimer les semelles de labour, qui empêchent l’exploration des racines vers les horizons profonds et limitent donc l’accès à la réserve en eau du sol.
– Chercher à obtenir un profil de sol homogène et rappuyé en surface.
– Respecter la densité de semis définie avec votre référent Pioneer.
– Implanter dans le frais, mais pas trop profond non plus, à 3-4 cm, pour favoriser l’homogénéité de la levée et optimiser l’efficacité des insecticides en traitements de semences ou micro-granulés en cas de pression taupins.
Le respect des fenêtres de semis Sem’Expert, essentiel pour 55% des spécialistes sem’expert Dry
La réussite d’un Sem’Expert Dry repose en grande partie sur une date de semis précoce, à la fois pour esquiver les fortes chaleurs de l’été et pouvoir être récolté aux normes aux alentours de mi-septembre. Le troisième facteur d’échec évoqué par vos référents Pioneer est un semis trop tardif, c’est-à-dire postérieur aux premières fenêtres de semis préconisées dans les alertes SMS Sem’Expert. Une des raisons souvent évoquées est l’impréparation des outils de travail (ou leur indisponibilité). Il est donc recommandé de préparer et réviser votre semoir en hiver pour être prêt à semer dès réception des SMS de déclenchement. La période de semis des maïs Sem’Expert Dry est raccourcie et il faut donc être opérationnel tôt.
Pour rappel, avant chaque SMS de déclenchement Sem’Expert, vous recevez deux SMS : une alerte préparation du sol et une alerte préparation du semoir. Prêtez-y la plus grande attention. Surtout si vous empruntez un semoir mono-graine. Dans ce cas ces deux SMS peuvent vous aider à sécuriser la disponibilité du semoir au moment où vous en aurez besoin. Pour plus d’informations sur le calendrier et le rythme de réception des SMS Sem’Expert, rapprochez-vous de votre référent Pioneer.


21 juin 2022
Première floraison dans le Cher
Première floraison dans le Cher pour ce P9889 LumiGEN Premium semé le 25 mars. Il aura fait jaser ce semis du 25 mars. Toujours les mêmes, pas convaincus d’un semis précoce, à cause du risque de gelées en avril (qui ont eu lieu mais sans conséquences). Et pourtant il est bien là, à fleurir juste à la fin du pic des fortes chaleurs.
Pour info, ce P9889 LumiGEN Premium a également été le premier à faire des coronaires (photo du 31 mai). Il a été installé chez un exploitant qui recherche l’optimum rendement/densité. Dans le cadre de cet essai (de plein champ), du P9889 LumiGEN Standard est semé aux côtés de P9889 LumiGEN Premium, à des densités différentes.
Pour en savoir plus sur la relation entre optimum de rendement et optimum de densité, contactez votre référent Pioneer.



