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31 janvier 2023
m3, ce sont les éleveurs qui en parlent le mieux

Perrine, rend visite à Alexis qui, avec son frère, représente la 4ème génération de la ferme familiale EARL de la Mare, dans le Cotentin : 130 normandes laitières à 7 600 l/an, (1 100 000 l/na) et un atelier de taurillons, pour une SAU 155 ha, 100 ha de pâture et 50 ha de maïs, dont une partie en m3, pour remplir 3 silos.

Leur choix du m3 est très raisonné. Si vous souhaitez en savoir plus, vous savez ce qu’il vous reste à faire 👇

 

28 janvier 2023
Un Agricoolteur content de son maïs grain P9071

Marc-Antoine, installé dans l’Aisne et accessoirement Agricoolteur le plus connu de Tik-Tok, est satisfait de son hybride Pioneer P9071. Après ses vidéos de semis, levée et récolte, voici venue l’heure du bilan : 10,5 t/ha aux normes, sur une parcelle inondable.

On s’arrête là. Place à notre Agricoolteur préféré 😉.

 

12 janvier 2023
Tournesol : les clés de sa compétitivité

La culture du tournesol a le vent en poupe ; les emblavements 2022 avait très sensiblement augmenté (+15 %) et 2023 suit la même trajectoire.

Réputé simple et nécessitant peu d’intrants, le tournesol requiert un itinéraire cultural précis pour donner le plus et en extraire le meilleur : choix des variétés (précocité, densité, profil sanitaire en fonction notamment de l’historique de la parcelle et alentours), sécurisation des semis et des levées notamment face au mildiou, aux adventices et aux autres ravageurs, choix de la fertilisation… Autant de facteurs qui, s’ils sont correctement pris en compte dès le départ, peuvent décider de la réussite technique et économique de votre tournesol.

L’article à télécharger vous en dit plus.

Les clés de la compétitivité du tournesol

 

5 janvier 2023
Du m3 enrubanné pour les vaches à l’engraissement

Perrine rend visite au GAEC Roube Fayet, située à Magny-Cours dans la Nièvre, une exploitation qui élève 320 charolaises. Dès que les conditions le permettent, les vaches sont dehors, à la pâture, et ne consomment que de l’herbe. Une « croissance à l’herbe » étant aujourd’hui une image de marque qui se valorise bien.

Mais dès qu’elles rentrent en bâtiment, à l’automne, de l’enrubannage de maïs prend le relais de leur ration. Du P8888, un m3, précisément. On vous laisse regarder Dimitri Fayet vous expliquer

 


Bonne Année 2023

Pioneer et son équipe vous présentent leurs meilleurs vœux pour 2023 ; que cette nouvelle année vous apporte satisfaction au sein de vos familles et de vos exploitations. .

Bonne année à toutes et tous !

 

2 décembre 2022
Les tournesols les mieux protégés du marché pour s’implanter

Pour s’implanter, un tournesol doit affronter des oiseaux, des ravageurs, des maladies, notamment le mildiou et ses nouveaux variants, et des conditions climatiques défavorables (parfois). Comment l’aider ?

Notre réponse, ce sont nos variétés de tournesol associées au traitement de semences LumiGEN Premium Lumisena. Ce traitement associe un pack fongicide à un pack fertilisant, pour lutter contre les maladies et passer plus rapidement les phases sensibles.

Le pack fongicide a montré durant toute la campagne 2022 sa parfaite efficacité sur toutes les souches de mildiou connues à ce jour grâce au nouveau mode d’action du Lumisena (innovation développée par la recherche Corteva).

Le pack fertilisant associe GAST et Lumidapt Optima. GAST contient des sources carbonées et des oligo-éléments, ce qui optimise les défenses de la plante. Lumidapt Optima est un fertilisant spécifique hautement concentré améliorant la germination, la vigueur et le développement racinaire. À eux deux, ces fertilisants favorisent l’émergence et la vigueur au démarrage pour réduire les risques sanitaires et ravageurs en début de cycle et ils permettent le développement équilibré de la microflore, portant des effets bénéfiques potentiels contre la pression des pathogènes.

Nous insistons sur l’importance de la combinaison des 3 piliers de notre offre Protector Tournesol pour une gestion durable du mildiou : résistance génétique, traitement de semences LumiGEN Premium Lumisena et pratiques agronomiques.

 

1 décembre 2022
Communiquer positivement sur le maïs et l’eau : c’est facile !

Corteva lance « Positif par Nature », un programme de formations, podcasts, et autres outils, qui vous donne les clés pour communiquer positivement sur votre métier et combattre les idées fausses, comme celle, par exemple, que maïs et eau ne font pas bon ménage (une idée qui a la vie dure).

Sur positifparnature.fr, vous trouverez les bons arguments, comme :

– Seulement 20 % des surfaces de maïs sont irriguées, donc 80 % des surfaces ne consomment que l’eau pluviale.
À consommation égale d’eau, le maïs produit plus de matière sèche que le blé, la pomme de terre et le riz.

Venez vous inscrire sur positifparnature.fr pour profiter gratuitement de tous les contenus !

 

30 novembre 2022
P63HH165 et P64HH167 : les deux variétés oléiques qui vont compter en 2023

Deux nouveautés oléiques, le P63HH165, précoce, et le P64HH167, demi-précoce, sont très bien sorties dans les essais 2022 du réseau variétal tournesol Terres Inovia. Comme le montrent les deux graphiques sur la productivité des variétés testées. Les résultats complets de la synthèse variétale Terres Inovia sont disponibles en cliquant sur ce lien.

À gauche, P63HH165 est une nouvelle référence en oléique précoce. Un tournesol qui performe et se distingue dans les sols à bonne réserve utile. C’est une variété « Protector », P63HH165 a donc un profil sanitaire sécurisant dans les situations à risque mildiou, verticillium, phomopsis et orobanche.

À droite, P64HH167 est la nouveauté oléique 2022 en demi-précoce. Sa très bonne vigueur de départ, même en conditions froides, lui permet d’assurer la levée en semis précoce. Dans des situations de stress hydrique, P64HH167 va tirer son épingle du jeu pour sécuriser un rendement grâce à ses bonnes agronomies et à son très bon profil sanitaire.

 

28 novembre 2022
Une calculatrice pour évaluer les risques mycotoxines

Pioneer est membre de l’Observatoire des Mycotoxines depuis sa création en 2018. Il regroupe différents profils d’entreprises : conseil en élevage, laboratoire, semenciers et fournisseurs de capteur.

Son objectif est de mieux évaluer le risque auquel font face les élevages, car les mycotoxines impactent négativement la production laitière et la santé des animaux. Afin d’avoir une vision précise et objective de la pression en mycotoxines, l’observatoire réalise des analyses de mycotoxines à partir d’un nombre défini d’échantillons prélevés en vert lors des chantiers d’ensilage, complété par des analyses sur maïs fermenté au cours de l’année. Les résultats sont ensuite placés sur une carte. L’observatoire a également pour vocation d’identifier les pratiques culturales qui augmentent le risque de développement des mycotoxines.

Les informations visibles sur les cartes sont issues d’élevages qui présentent déjà un problème de mycotoxines. Elles ne sont donc pas le reflet d’une situation géographique à risque de développement de mycotoxines. C’est pour ça que très prochainement, en 2023, chaque élevage sera en mesure d’évaluer son propre risque grâce à un calculateur en cours de développement.

Pour en savoir plus sur les mycotoxines, n’hésitez pas à télécharger la plaquette technique de l’observatoire.

 

9 novembre 2022
Maïs m3 : la preuve par 3 au lycée agricole de Sées (61)

Après les fermes expérimentales de Grignon, de l’ENSAIA et de Trévarez, les lycées agricoles de Radinghem et de Canappeville, c’est au tour du Lycée Agricole de Sées (61) de tester les maïs m3.

Les 80 vaches normandes ont consommé 3 maïs différents : d’abord du maïs corné-denté (période 1) puis du maïs m3 (période 2) et pour finir du maïs corné-denté (période 3). Grâce à la dégradabilité supérieure de l’amidon des dentés farineux, les vaches ont mieux valorisé le maïs m3 et ce, lors des 2 changements de silos.

Lors du passage au maïs m3, les mesures ont indiqué une augmentation de + 1 L de lait/vache laitière/jour, et lors du retour au maïs corné-denté une baisse de – 2 L de lait/vache laitière/jour a été mesurée.

En parallèle de ces performances laitières, les bouses ont été tamisées durant la période de consommation du maïs corné-denté pour observer leur teneur en amidon. Lorsque les vaches mangent du maïs corné-denté, les bouses contiennent une plus grande quantité d’amidon (cf photo ci-dessous), signe de la moins bonne valorisation du maïs par les animaux. Avec les maïs dentés farineux m3, c’est 4 fois moins d’amidon dans les bouses pour plus de lait avec + 1 à + 2L/vache laitière/jour selon la période !